Huit années de fidélité aux 10 km de Lasne
Carlos et Jean-Jo n’ont manqué aucune édition du populaire jogging lasnois
- Publié le 04-09-2018 à 12h36
- Mis à jour le 04-09-2018 à 12h45
Carlos et Jean-Jo n’ont manqué aucune édition du populaire jogging lasnois
Les 10 km de Lasne fêtaient leur huitième anniversaire cette année. Un événement convivial et familial qui a su trouver son public. Et ses fidèles. C’est le cas de Carlos et Jean-Jo, deux avocats lasnois, au départ des huit éditions. "Nous sommes là depuis le début et c’est toujours un challenge de venir ici à cette époque de l’année" , confient-ils.
Les deux joggeurs ont vu l’événement grandir, passant rapidement de 500 à 1 000 participants. "Le chiffre est vite monté mais nous avons l’impression qu’il diminue depuis deux ans, sans raison apparente."
Quoi qu’il en soit, les deux Lasnois sont ravis de pouvoir participer à un jogging dans leur commune. "C’est une bonne chose pour la commune. Il faut faire bouger les gens et cette course est l’occasion idéale pour sortir de chez soi."
Même si le parcours des 10 km de Lasne n’est pas réputé pour être l’un des plus faciles en Brabant wallon. "C’est un parcours assez difficile mais qui attire les joggeurs de par sa variété. On traverse les bois, les villages et on s’offre une belle côte pour terminer. C’est un parcours qu’il faut être prêt à affronter."
Fiers de n’avoir manqué aucune des huit éditions de la course lasnoise, Carlos et Jean-Jo gardent de bons souvenirs de chacune de leur participation. "Les meilleurs souvenirs, on les forge avec les amis que l’on retrouve au départ ou à l’arrivée de la course. Même si certains nous ont un peu lâchés au fil des années, certainement en raison de la difficulté de ce parcours."
Les mauvais souvenirs, eux, sont rares. "Il y a 3-4 ans, la chaleur fut épouvantable. Depuis, les organisateurs ont eu la bonne idée de programmer la course le matin."
Après huit épreuves bouclées, les deux joggeurs lasnois comptent bien poursuivre leur belle série durant de nombreuses années encore. "Il n’y a pas de limite. Comme on peut courir jusqu’à sa mort, nous ne sommes pas prêts de nous arrêter."